Alice toute pimpante aujourd'hui !
Je le reconnais, le petit grelot qui trépigne devant ma porte,
plusieurs petits coups, c'est elle ! Alice, ma voisine de 102 ans qui vient me
rendre visite, il est encore tôt, dix heures du matin, c'est tôt aussi pour
vous ? Elle est toute belle et fringante, habillée avec ses pulls tricotés
maison il y a plus de 25 ans, c'est elle qui le dit : c'est vieux ça, Danielle,
oui Alice, c'est vieux mais c'est encore beau, et ça vous va comme un gant...
Oui, bonjour Alice, vous avez besoin de quelque chose ? Non, ça
fait longtemps que je ne vous avais pas vue, alors je viens vous faire un petit
bisou... C'est toujours son entrée en matière, sa marque de fabrique, Alice a
besoin de contacts, de voir ses voisines, de faire des bisous. En avez-vous une,
vous, de voisine comme ça ? Si affectueuse ? Je l'appelle la petite souris, car
elle sourit tout le temps.
Entrez Alice, entrez, asseyez-vous là, et je l'invite à s'asseoir
sur mon canapé bien confortable... Voyez Alice, je ne suis même pas encore
habillée, je vais, je viens, je fais des tas de choses et l'heure a tourné... Elle
s'en fiche, Alice, de la couleur de ma robe de chambre, elle veut des bisous,
elle refuse même le verre de thé que je lui propose.
Nous avons passé en revue son enfance, ses souvenirs en avalanche,
les bons les mauvais, le temps qui avait passé bon gré mal gré. Pour vivre aussi longtemps, Alice avait
toujours vécu au présent, elle avait accepté les difficultés d'où qu'elles
venaient, elles les avais digérés, broyés, et elle avait poursuivi sa route
avec tous ses chagrins, ses manques, ses désespérances, c'est elle qui me l'a
dit, je la regardais avec admiration...
Aujourd'hui elle attend son heure ! Avec son sourire, ses jolis
pulls, ses envies de bisous, elle attend son heure, le temps lui semble long... Mais elle garde le sourire...
Un autre jour, l'embarquement, avec Chiharu Shiota... J'avais déjà parlé d'elle dans un de mes posts en 2012 (cliquez sur embarquement)
Were
are we going ? (Où allons-nous ?) Chiharu Shiota, au Bon Marché
Elle est revenue à Paris, au Bon Marché, jusqu'au 18 février 2017, avec une nouvelle
installation que je ne pouvais rater, je l'avais découverte en 2011 à la Maison Rouge à Paris, ses robes de mariées entraperçues dans un dédale de fils noirs, un très grand moment...
Depuis, je l'ai suivie autant que je le pouvais dans ses œuvres éblouissantes : avec ses fils de laine noirs, rouges et blancs, Chiharu Shiota (japonaise, 45 ans, vit et travaille en Europe depuis plus de vingt ans), ensevelit littéralement l'espace, dissimule les formes, enrobe et transforme l'espace, soustrait la lumière, creuse des galeries. Elle installe des brouillards duveteux autour des choses, et nous transporte immédiatement vers le mystère, la poésie, l'émotion, l'admiration... Du moins pour moi, c'est comme ça que cela opère, chaque fois que je rencontre ses toiles d'araignée qui m'étreignent la gorge et éblouissent mes yeux...
Depuis, je l'ai suivie autant que je le pouvais dans ses œuvres éblouissantes : avec ses fils de laine noirs, rouges et blancs, Chiharu Shiota (japonaise, 45 ans, vit et travaille en Europe depuis plus de vingt ans), ensevelit littéralement l'espace, dissimule les formes, enrobe et transforme l'espace, soustrait la lumière, creuse des galeries. Elle installe des brouillards duveteux autour des choses, et nous transporte immédiatement vers le mystère, la poésie, l'émotion, l'admiration... Du moins pour moi, c'est comme ça que cela opère, chaque fois que je rencontre ses toiles d'araignée qui m'étreignent la gorge et éblouissent mes yeux...
Au Bon Marché, je n'y étais pas allée depuis des années, tout avait changé, plus luxueux que jamais, un vrai paradis de la beauté, très chère ! Les embarcations de fils blancs voguaient sous les voûtes du grand magasin, un article de Télérama, qui avait attiré mon attention, faisait allusion à "cent cinquante bateaux d'origines du monde entier, Un voyage immobile qui évoque Small Room, une installation composée de valises en carton, comme celles emportées par des survivants de Fukushima ou par des migrants d'aujourd'hui". C'est avec cette idée que j'étais venue voir l'exposition...
Bien sûr, je fus sidérée par la beauté de l'installation, je sentis très vite le décalage entre l'oeuvre et le le lieu, je le ressentais comme une évidence : ainsi donc, au Bon Marché, l'oeuvre était présentée comme "un rapport au monde oscillant entre poésie, mélancolie et recherche de l'universalité" "l'artiste établissait une analogie entre la vie humaine et le voyage"... Comment ne pas entendre ici le voyage de la survie ?
Et puis, il était dit sur le petit papier qui présentait l'expo : le grand magasin avait proposé le Blanc en hommage au Mois du Blanc ! Ainsi, pour la première fois, C. Shiota travaillait elle aussi pour la saison du blanc ! La pureté ! Mon malaise persista jusqu'à la sortie...
Au Bon Marché
Détail
Les barques, toutes les barques
Impossible de m'embarquer complètement...
Sous la grande verrière
Au RDC, le voyage commence dans des tunnels de glace en laine blanche
J'ai fait mon petit tour, jusqu'à la Grande Épicerie fine, il y avait de tout : sucré/salé/poivré/vanillé/safrané... TOUT !
Des couleurs éblouissantes à tous les étages
Le merveilleux film animé de Jean-François Laguionie (75 mn)
Louise, une vieille dame, reste seule dans la petite ville estivale de bord de mer, le train emportant le dernier vacancier vient de partir... Il reviendra bien, mais à la saison prochaine, d'ici là Louise survivra dans cette ville fantôme entièrement pour elle. La solitude, le vieillissement, la mort, les souvenirs l'envahissent et comme les vagues, chaque jour la prennent d'assaut, Louise soliloque... Sans amertume mièvre, avec douceur, un graphisme somptueux, tout en pastel, comme Louise... Une perle !!
Paterson :
Une semaine à Paterson petite ville du New-Jersey, la vie de tous les jours avec ses petits arrangements et dérangements, Paterson et Laura vivent une vie réglée au cordeau, mais à y regarder de plus près, tous les jours sont des jours nouveaux où il se passe quelque chose de poétique... Paterson écrit des poèmes, Laura crée des œuvres d'art en noir et blanc... Tous les jours de la semaine distillent de l'amour et de la beauté... Deux heures superbes et touchantes, un pur régal !
Harmonium :
Dans une discrète banlieue japonaise, Toshio et sa femme Akié mènent une vie en apparence paisible avec leur fille. Un matin, un ancien ami de Toshio se présente à son atelier, après une décennie en prison. À la surprise d'Akié, Toshio lui offre emploi et logis. Peu à peu, ce dernier s’immisce dans la vie familiale, apprend l'harmonium à la fillette, et se rapproche doucement d’Akié. La tension monte image après image... Passionnant et envoûtant !
On donne Le Misanthrope à la Comédie Française, ma pièce préférée, c'est fait, j'ai une très bonne place, qu'il pleuve, qu'il vente, j'y vais bientôt... Je m'en réjouis tous les jours, j'aime cette attente-là, comme j'aime bien arriver en avance dans le théâtre, pour respirer l'atmosphère, regarder les gens, le spectacle de l'avant spectacle... Ça multiplie tous les plaisirs par deux...
Les jours de petits tours sensationnels aux puces de Montreuil :
Il fait froid, il va pleuvoir, on verra bien, je fais des photos de l’Angélus et des Glaneuses d'après les peintures de Jean-François Millet (1814-1875), aîné d'une famille nombreuses de paysans. Berger dans son enfance et plus tard laboureur, il aime le dessin, à vingt ans son père l'envoie à Cherbourg, le Conseil municipal et le Conseil Général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage. À Paris il expose, vend ses œuvres, il se marie et a neuf enfants. Au village de Gruchy dans la commune de Gréville-Hague, sa maison natale a été reconstruite à l’identique et meublée comme une maison paysanne du xixe siècle. On y peut découvrir de nombreuses copies de ses tableaux.
Aux Puces, les Angélus et les Glaneuses, je les ramasse à la pelle, quelque fois même les marchands froncent les sourcils, il faut demander l'autorisation comme au Musée, je demande et je clic... Beaucoup de brodeuses l'ont copié, les reproductions foisonnent, je n'ai pas eu à chercher très longtemps pour trouver des tas de beaux Millets, je pense même que l'Angélus est l'image que je rencontre le plus... :
L'Angélus :
Les Glaneuses :
Le jour du (petit) sensationnel :
La belle trouvaille, avec cette petite boîte en verre émaillé, en parfait état, cerclée de laiton, pour un tout petit prix, la petite pépite m'attendait dans un tas d'objets absolument sans intérêt.
La Pépite :
On donne Le Misanthrope à la Comédie Française, ma pièce préférée, c'est fait, j'ai une très bonne place, qu'il pleuve, qu'il vente, j'y vais bientôt... Je m'en réjouis tous les jours, j'aime cette attente-là, comme j'aime bien arriver en avance dans le théâtre, pour respirer l'atmosphère, regarder les gens, le spectacle de l'avant spectacle... Ça multiplie tous les plaisirs par deux...
Les jours de petits tours sensationnels aux puces de Montreuil :
Il fait froid, il va pleuvoir, on verra bien, je fais des photos de l’Angélus et des Glaneuses d'après les peintures de Jean-François Millet (1814-1875), aîné d'une famille nombreuses de paysans. Berger dans son enfance et plus tard laboureur, il aime le dessin, à vingt ans son père l'envoie à Cherbourg, le Conseil municipal et le Conseil Général de la Manche lui octroient ensuite une pension pour qu'il puisse continuer son apprentissage. À Paris il expose, vend ses œuvres, il se marie et a neuf enfants. Au village de Gruchy dans la commune de Gréville-Hague, sa maison natale a été reconstruite à l’identique et meublée comme une maison paysanne du xixe siècle. On y peut découvrir de nombreuses copies de ses tableaux.
Aux Puces, les Angélus et les Glaneuses, je les ramasse à la pelle, quelque fois même les marchands froncent les sourcils, il faut demander l'autorisation comme au Musée, je demande et je clic... Beaucoup de brodeuses l'ont copié, les reproductions foisonnent, je n'ai pas eu à chercher très longtemps pour trouver des tas de beaux Millets, je pense même que l'Angélus est l'image que je rencontre le plus... :
L'Angélus :
Les Glaneuses :
Le jour du (petit) sensationnel :
La belle trouvaille, avec cette petite boîte en verre émaillé, en parfait état, cerclée de laiton, pour un tout petit prix, la petite pépite m'attendait dans un tas d'objets absolument sans intérêt.
La Pépite :
26 commentaires:
Pas mal de choses belles et intéressantes celles que tu nous offres ici dans différents domaines, chère Danielle... Et la photo et quelques bribes de l'histoire d'une fille souriante avec un pull superbe, à laquelle j'aimerais dire que les bisous elle les mérite tous, et encore davantage...
Un grand merci, et bonne soirée (en attendant ton prochain billet).
Trop de belles choses à voir... Sur ma tablette c'est pas top...donc demain sur l'ordinateur! Je me réjouis !,,biz
Que ton billet me plaît !!! Ta vie est si riche !!!
Quel plaisir de voir Alice si alerte et souriante !!!
Je n'ai vu aucun film que tu nous présentes ici, je note, je note...
Quand au Bon Marché, je trouve ce décor si féerique !
Tes petites trouvailles sont parfaites ! Quant à la pépite, je n'ai pas pu voir l'image ?
Bon mercredi ! Bises du soir
pas le temps pour aller au cinéma... mais l'installation au bon marché ..un poème! merci!!!!
...et millet , le pauvre doit se retourner dans sa tombe ...j'adoooore! bises
Chère Siu merci pour ton enthousiasme, si tu voyais en effet cette belle installation tu en serais heureuse :-))
Alice, va bien, elle sonne aux portes pour réclamer de la présence et elle a parfaitement raison, nous lui donnons du temps avec plaisir...
Passe une très bon mercredi et les jours suivants.
Avec beaucoup de bises fortes.
Elfi une expo pour toi c'est sûr !!
Pour le reste j'adore que tu aimes.
Je t'embrasse fort de fort.
Enitram, tu sais la richesse c'est Paris, plus grande que toutes et plus offrante aussi, c'est ainsi :-)
J'ai remis l'image de "la petite trouvaille" d'une autre manière, peut-être pourras-tu ainsi la voir ?
Pour les films, si j'avais à choisir un seul... Je ne pourrais pas !
Je t'embrasse très fort Enitram, bonne fin de semaine à toi.
Tu nous gâtes,une autre photo d'Alice, j'ai toujours du mal à croire son âge.On a vraiment envie de lui faire des bisous.J'avais une voisine beaucoup plus jeune!! (95 ans) qui malheureusement est décédée l'an dernier, elle me manque,nous étions très proches.Tu es précieuse pour Alice.
Etonnante cette expo au Bon Marché,il n'y a qu'à Paris que l'on peut voir celà...vous avez de la chance.
Ces tableaux de Millet,l'angèlus était présent chez ma grand-mère aussi,elle en était très "fière",je n'en avais jamais vu au point de croix...
Ta "pépite" est superbe,tu as bien fait de l'acheter.
Pour les films j'ai noté,je vois que tu as plein d'occupations et c'est super!!Profites!!!
De gros bisous du soir.
Oh quelle jolie photo de ton amie et voisine Alice . Tu lui feras un bisou de ma part puisqu'elle les aime.
Superbe exposition avec ces robes ces fils qui vont et viennent, s'entrelacent pour le plaisir des yeux.
Et ta pépite une merveille qui me plaît énormement .
Bon week-end Danielle, je t'embrasse fort du soir
D'accord, Brigitte plein de bisous pour Alice qui fait maintenant ces mails toute seule... Elle est forte...
Merci pour ton partage chère Brigitte
Grosses bises du matin tôt...
Tu vois Marie Claude le grand Millet était présent chez tes grands parents, étaient-ils dû milieux rural ?
Alice fait maintenant ses mails elle-même, par écrit, elle n'a plus besoin de moi :-)
Elle veut aussi que je l'emmène à Monoprix avec l'autobus, reste à faire très bientôt...
Oui, ma pépite me donne plein de satisfaction :-)
Bon WE à toi et grosses bises.
Mes grands-parents étaient citadins,mais ma grand-mère adorait ce tableau qu'elle contemplait souvent,surtout lorsqu'elle faisait "sa poussière" comme elle disait....
De grands progrès en informatique pour Alice,c'est super à son âge, mais je pense que tu as été un bon professeur!
De plus une sortie de prévue,Monoprix magasin agréable,toujours des petites trouvailles à faire,elle va être heureuse et toi aussi de ce bon moment partagé.
Très beau dimanche à toi.
Bisous du soir.
Merci Marie Claude De cette précision sur ta grand mère citadine:-))
Pour Alice, je pense quand même qu'elle en a plus appris toute seule:-)) je lui ai dit qu'elle était très forte, elle a ri !!!
Elle a énormément de volonté et d'opiniâtreté...
Gros bisous Marie Claude bon dimanche pour demain.
mais c'est une jeune dame, les années ont préservé sa beauté même si, je le devine, le vie n'a pas toujours été facile pour notre Alice. C'est une personne précieuse pour toi et tu l'es tout autant pour elle, j'en suis certaine. merci pour cette photo qui nous donne une leçon de chaleur humaine. Oh la merveille, je te l'envie! je ne vais plus sur les brocantes,je ne sais pas résiste r et ma maison est déjà pleine comme un oeuf dur! Je vous embrasse toutes les deux
La vie de tous les jours, variée, poétique, amusante, sensible....on ne s'ennuie pas.
Comme ces voiles blanches sont évanescantes, des ailes d'anges?
Je te laisse Millet, bien que ta collection soit prolifique....
Et puis Alice, quel sourire, quelle lumière. Une grande leçon de Vie!
Bises de Nice
Danielle, c'est vrai je crois que les années ont préservé sa beauté, souvent je la regarde du coin de l'œil et je l'admire...
Les puces de Montreuil restent des petites balades que je savoure, très très souvent je reviens bredouille, juste avec quelques photos, les marchands se méfient... Ils me prennent sans doute pour une inspectrice du fisc va savoir :-))
Merci Danielle de ta présence sur mes lignes..
Je t'embrasse fort en retour.
Oui Martine, une vie de tous les jours :-)
Moi aussi je laisse Millet aux puces, mais je gage que ses oeuvres doivent être émouvantes, je ne les jamais vues en vrai...
Aujourd'hui, je retourne à Monoprix, mais comme je suis pressée, je ne dirais rien à Alice...
Passe une très bonne semaine chère Martine, à très vite.
Toujours aussi belle ta douce Alice. Que ce pull tout "poilu" lui va bien à elle si menue.
Comme toi, mais à sa mesure, elle sait enrichir sa vie de plaisirs simples mais bien réels.
Je ne suis pas éblouie par tout ce blanc au Bon Marché, mais peut-être que je ne me rends pas bien compte du rendu.
Par contre j'adore la petite boîte que tu as trouvée. C'est le plaisir des puces que de découvrir une petite merveille au milieu de beaucoup d'objets plus kitchs (pardon M. Millet).
Dis bien à Alice combien elle est aimée de nous tous même si nous ne la connaissons que par sa photo!
Grosses bises à toi et à elle!
J'ai du mal à croire que notre Alice ait 102 ans, on lui en donnerait 30 de moins !
Elle a bien raison de s'être mise à l'informatique : on meurt chaque jour où l'on apprend rien que ce soit des choses ou des gens !
Fais-lui d'énormes bisous de ma part, tu as bien de la chance d'avoir les voisines que tu as...
Je suis jalouse de tes Puces, moi je n'ai que la braderie de la Croix-Rousse une fois par an !
Marie-Paule sais-tu que cette belle Alice en fait a beaucoup de caractère, une très grande énergie, elle me dit que c'est sans doute pour ça qu'il a pu aller très loin dans sa vie !!!
Alice sait que je mets sa photo sur Internet, mais je pense qu'elle ne réalise pas le miracle de la communication à cet échelle... En tout cas elle sourit tout le temps.
Il aurait fallu venir au Bon Marché pour t'en émouvoir :-))) les photos n'en disent pas assez !
Ma petite boîte m'apporte beaucoup de joie, rien que de la voir d'un seul coup d’œil.
Gros bisous Marie-Paule, bonne fin de semaine.
Dominique, quel fut mon étonnement quand Alice m'a dit qu'elle faisait maintenant seule ses mails... Je n'en revenais pas !
C'est vrai qu'on ne lui donne pas du tout son âge :-))
Je vais lui dire que vous l’embrassez toutes :-)
C'est vrai aussi Dominique que je comprends ta jalousie pour mes Puces:-))) ces petits coins de Paradis :-)))Une fois par an c'est peu, sniff !
Grosses bises du soir à toi.
Bonjour Danielle penses-tu qu'Alice serait d'accord pour que je mette sa photo sur ma page Facebook ?
tu lui demanderas pour moi,merci
je veux montrer qu'a 102 ans on peut être aussi belle que rayonnante!
j'attends ta réponse . De gros bisous de ce jour
Chère Brigitte, je vais demander à Alice, mais je ne sais pas si elle se représente vraiment ce qu'est la visibilité d'Internet, même si elle sait maintenant envoyer ses mails...:-)
Gros bisous à toi et bon WE à très vite.
Tu vas lui expliquer Danielle ,mais pas d'inquiétude non plus, je n'ai sur ma page que quelques amies proches une trentaine environ (pas 500 voir 4000 !!!)
Merci d'avance et gros bisous pour ce week-end qui démarre aujourd'hui avec un beau soleil
Ciao Danielle, per commentare il tuo post mi ci vorrebbe almeno un'ora vista la meravigliosa amplezza che gli hai dato. Se permetti, mi fermo alla prima parte. Vorrei bene avere una vicina come te se io riuscissi ad arrivare oltre i 100 anni, con tutto a posto come si deve. Purtroppo non so lavorare a maglia per creare un maglioncino come quello della fotografia ma, non importa, sono bravo a fare del bricolage e quindi, forse, potrò servire ancora a qualche cosa.
Complimenti anche per tutto il resto del post e buona domenica.
Merci mille fois Elio pour votre bel humour et votre gentillesse...
Je ne suis pas çertaine que mes capacités de devenir centenaire soit assurée... Mais je vous souhaite une très longue vie pleine de douceur.
À très bientôt ami et bonne fin de semaine.
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